de cette coulée de lave
comment t’extraire
toi
feu
au feu abandonné
aiguisé
par le cri des mouettes
virevoltant
au-dessus des hauts-fonds
amour
lame refleurie
des abîmes du vent tu reviens
décharger tes débâcles en moi
là
encore debout sur cette grève
la peau ébréchée
par ta parole
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